J'ai déjà oublié les questions J à K je remets les G à I

G) Ce sont des poètes engagés car ils se sont mobilisés pour la Résistance, grace à leurs actions et leurs écrits.

H) on retrouve le mot (liberté) dans le poème de Paul Éluard, et celui de René Char et dans « Le Chant des partisans » vers 46.
La figure de style employée pour évoquer la liberté est la personnification – on peut également parler d’allégorie - qui traduit un sentiment d’amour et de respect.

Dans le poème de Robert Desnos, « Ce cœur qui haïssait la guerre », le mot « liberté » apparaît aux vers 10 et 12. Il forme une antithèse avec le mot « guerre »

Ia) Poème 1, le poète s’adresse à la « Liberté » à la deuxième personne du singulier.
Poème 4, le poète s’adresse aux lecteurs à la deuxième personne du pluriel (« Écoutez » au vers 2).
Poème 6, le poète s’adresse à ses « ami(s) » (vers 1 et 3), ses « camarades » (vers 14), c’est-à-dire aux autres partisans et résistants.

Dans quel but :
Pour mobiliser la Résistance, éveiller les consciences, d’exhorter à la lutte armée. Robert Desnos écrit que « Ce cœur qui haïssait la guerre voilà qu’il bat pour le combat et la bataille » (v. 1) et qu’ « un seul mot : Liberté a suffi à réveiller les vieilles colères ». R. Desnos utilise également les phrases exclamatives pour capter l’attention de son lecteur ou de son auditeur. Dans le « Chant des partisans », l’impératif présent (v. 12 à 23), les phrases exclamatives et les interjections (« Ohé » aux v. 6 et 21) ont cette valeur d’exhortation
c) Les procédés qui donnent de la force aux propos des poètes sont : – l’anaphore (« Ami » dans le « Chant des partisans »),
les parallélismes de construction  ( Liberté j’écris ton nom),
les effets de rythmes binaires ou ternaires ( Ce cœur qui haïssait la guerre),
l’apostrophe, l’adresse au lecteur,et l’interjection,
l’emploi de phrases injonctives et exclamatives,
les figures de style comme la personnification, la métaphore, l’antithèse, etc