1) Recopiez les vers suivants : barrez les -e muets, entourez ceux qui doivent se prononcer et indiquez le mètre utilisé. a) Dis moi, ton coeurs parfois s'envol
Français
camalgerienne
Question
1) Recopiez les vers suivants : barrez les -e muets, entourez ceux qui doivent se prononcer et indiquez le mètre utilisé.
a) Dis moi, ton coeurs parfois s'envole-t-il, Agathe,
Loin du noir océan de l'immonde cité,
Vers un autre océan où la splendeur éclate.
(Baudelaire.)
b) Déja plus d'une feuille sèche
Parsème les gazons jaunis ;
Soir et matin, la bise est fraîche
hélas ! les beaux jours sont finis !
(Gautier.)
c)J'ai perdu ma force et ma vie,
Et mes amis et ma gaieté.
(Musset.)
d) Ah ! la belle pleine lune
Grosse comme une fortune !
(Laforgue.)
e) Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole ;
Le Temps ramène les plaisirs.
Entre la Veuve d'une année
Et la veuve d'une journée
La différence est grande : on ne croirait jamais
Que ce fut la même personne.
(La Fontaine.)
a) Dis moi, ton coeurs parfois s'envole-t-il, Agathe,
Loin du noir océan de l'immonde cité,
Vers un autre océan où la splendeur éclate.
(Baudelaire.)
b) Déja plus d'une feuille sèche
Parsème les gazons jaunis ;
Soir et matin, la bise est fraîche
hélas ! les beaux jours sont finis !
(Gautier.)
c)J'ai perdu ma force et ma vie,
Et mes amis et ma gaieté.
(Musset.)
d) Ah ! la belle pleine lune
Grosse comme une fortune !
(Laforgue.)
e) Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole ;
Le Temps ramène les plaisirs.
Entre la Veuve d'une année
Et la veuve d'une journée
La différence est grande : on ne croirait jamais
Que ce fut la même personne.
(La Fontaine.)
1 Réponse
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1. Réponse Anonyme
a) Dis moi, ton coeurs parfois s'envol-t-il, Agathe,
Loin du noir océan de l'immonde cité,
Vers un autre océan où la splendeur éclat.
(Baudelaire.)
b) Déja plus d'une feuille sèche
Parsème les gazons jaunis ;
Soir et matin, la bise est fraîche
hélas ! les beaux jours sont finis !
(Gautier.)
c)J'ai perdu ma force et ma vie,
Et mes amis et ma gaieté.
(Musset.)
d) Ah ! la belle pleine lune
Grosse comme une fortune !
(Laforgue.)
e) Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole ;
Le Temps ramène les plaisirs.
Entre la Veuve d'une année
Et la veuve d'une journée
La différence est grande : on ne croirait jamais
Que ce fut la même personne.
(La Fontaine.)