SVP VOUS POUVEZ ME TARDUIRE LE PREMIER TEXTE EN FRANÇAIS SANS GOOGLE TRADUCTION SVP MERCI D'AVANCE

Je te fais d'abord une traduction littérale puis tu me diras si il en faut une plus soutenue...

Le cameraman est en train de filmer un homme qui est au lit. Il est couvert de taches rouges aussi nous devinons qu'il est malade. Nous nous demandons donc si il a une rare ou une incurable maladie, autrement, il n'y aurait pas de caméras du tout. Dans la seconde partie de l'animation il y a plus de cameramans et de journalistes en train d'envahir la chambre de l'homme. Et nous voyons le même homme dans le lit avec les mêmes horribles taches rouges partout sur son corps. Cependant cette fois nous pouvons lire que cette maladie est contagieuse, ce qui rend la maladie plus "attractive" pour les journalistes parce que les microbes peuvent s'étendre et donc de nombreuses personnes (un grand nombre de gens) se sentiront concernés et regarderont les nouvelles ou achèteront les journaux pour en savoir plus à propos de cette maladie. Nous pouvons deviner que dans la dernière partie du cartoon les journalistes sont encore plus nombreux parce que cette fois l'homme malade est contaminé par une épidémie comme le porc / la grippe aviaire par exemple. Et bien sûr, l'épidémie sera "gonflée". Les journalistes sont tous en train de sourire parce qu'ils savent que leurs photos et leurs articles vont faire les titres. Ils semblent vraiment déterminés à avoir l'homme dans le film afin d'avoir quelque chose de sensationnel à montrer. Nous sommes heurtés par l'immense nombre de micros et de caméras, les reporters sont étroitement serrés, ils se poussent et se bousculent pour avoir une interview. La foule de reporters ressemble à un raz de marée étant sur le point d'écrase l'homme. Je pense que le dessinateur veut dénoncer / exposer la frénésie autour de certains événements même avant qu'il y ait une investigation, ou même si ces événements sont insignifiants. Il peut vouloir dénoncer la pression des médias, l'invasive présence de la presse. La presse peut être critiquée pour son voyeurisme. Ce qui arrive à une sensationnelle photo ou vidéo à tout prix. La souffrance de l'homme est devenu un spectacle, un titre de nouvelles.

Un cameraman est entrain de filmer un homme sur un lit. Il couvert de bouton rouge, nous pouvons en déduire qu'il est malade. Nous pouvons également dire qu'il est atteint d'une maladie rare et peu commune, sinon il n'y aurait pas de camera du tout. Dans la seconde partie du dessin animé, il y a plus de cameraman et de journalistes présents dans la chambre de l'homme. Et nous voyons le même homme sur le même lit avec les mêmes horribles boutons rouges partout sur son corps. En revanche, cette fois nous pouvons entendre dire que la maladie est contagieuse, ce qui la rend plus "intéressante"/"attrayante" pour les journalistes parce que le virus peut s'étaler et de ce fait, beaucoup de monde vont regarder les informations et acheter des journaux pour en savoir plus parce qu'ils se sentiront concernés. Nous pouvons dire que durant la dernière partie du dessin animé, les journalistes sont encore plus nombreux parce que cette fois-ci, l'homme est contaminé par une épidémie, et bien sur, l'épidémie sera monter en gros coup de publicité. Les journalistes sont tous souriants car ils savent que leurs articles feront la une des journaux. Ils semblent très enthousiastes et impatients de prendre des photos de l'homme pour avoir quelque chose de sensibilisants à montrer. Nous sommes coincés par les caméras et les micros, les journalistes sont serrés les uns aux autres et ils se bousculent et se disputent pour avoir un témoignage du malade. La foule de journaliste ressemble à un ras de marées entrain de noyer l'homme sur le lit. Je pense que le dessinateur veut dénoncer la publicité sur un évènement avant même que celui-ci soit étudié. Il peut vouloir dénoncer la pression des médias, la présence envahissante de la presse. La presse est dénoncée pour son voyeurisme. Ce qui importe la photo sensibilisante. La souffrance humaine est devenue un spectacle.